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Les Dépossessions stratégiques

Les territoires abandonnés pour recentrer le Royaume.

Un royaume fort repose sur l’unité de son peuple, la clarté de sa mission historique et la viabilité de ses ressources. L’expansion du Royaume de France sous Henri V de la Croix et du Croissant ne doit pas être un simple agrandissement territorial, mais une restauration de la France historique et spirituelle.

Dans cette optique, certains territoires, soit par leur incompatibilité culturelle, soit par leur coût excessif, soit par leur manque d’attachement au projet royal, doivent être abandonnés ou réintégrés dans des alliances opportunes. Loin d’un repli, cette stratégie recentre la France sur son essence profonde et lui assure une puissance réelle et durable.

 

La sagesse de laisser partir...

Certains espaces, jadis intégrés au territoire français, n’ont jamais véritablement trouvé leur place dans l’unité royale ou sont devenus un fardeau inutile à la grandeur du royaume. Leur abandon ne doit pas être perçu comme une défaite, mais comme un acte de sagesse, recentrant les forces françaises là où elles sont historiquement et culturellement légitimes.

 

​Gouverner et administrer les territoires d'outre-mer français représente un défi significatif, tant sur le plan financier que logistique. Les coûts engendrés par ces territoires sont considérables et pèsent lourdement sur le budget de l'État.​

En 2009, l'effort global programmé pour l'outre-mer était de 16,7 milliards d'euros.

 

Pour la Guadeloupe, la facture s'élevait à 2,5 milliards d'euros, et pour la Martinique à 1,8 milliard d'euros. Ces montants incluent les dépenses liées aux missions régaliennes de l'État, telles que l'éducation, la justice et la police. Cependant, en se concentrant sur les mesures spécifiques à ces territoires, le coût pour l'État était estimé à environ 7 milliards d'euros, soit l'équivalent du budget de la Justice à l'époque. ​Le Figaro

La Savoie : Retour à l’Italie, fin d’un non-sens historique

La Savoie, bien que rattachée à la France depuis 1860, n’a jamais pleinement incarné l’âme du royaume. Elle appartient historiquement au duché de Savoie et ses racines sont avant tout italiennes et alpines.

Solution stratégique :

Restitution de la Savoie à l’Italie, scellant une alliance monarchique avec la Maison de Savoie.
Redéfinition des frontières orientales, recentrant la France sur son cœur historique.
Allègement des dépenses publiques, en supprimant une région peu intégrée culturellement et économiquement.

Impact géopolitique :
Un retour à l’Italie renforce l’axe monarchique catholique européen et permet à la France de se concentrer sur ses propres provinces historiques.

Languedoc-Roussillon : Fin de l’enclave républicaine et amorite

Le Languedoc-Roussillon, malgré sa présence historique en France, est devenu un bastion des idéologies modernistes et républicaines. Cette terre, jadis foyer du catharisme et des frondes antiroyales, n’a jamais pleinement accepté l’autorité monarchique.

Problèmes identifiés :
Bastion de l’idéologie républicaine et contestataire, incompatible avec la restauration royale.
Présence de foyers d’opposition à l’ordre monarchique et catholique.
Coût économique élevé, avec un développement chaotique et un urbanisme anarchique.

Solution stratégique :
Autonomie régionale sous influence espagnole, permettant de renforcer le lien avec la monarchie catholique hispanique.
Réintégration des populations monarchistes et traditionalistes au sein du Royaume, en favorisant les migrations vers la Provence et l’Aquitaine.
Suppression d’un foyer d’agitation, garantissant l’unité idéologique et spirituelle du royaume.

Impact géopolitique :
Un Languedoc autonome ou sous influence espagnole supprime une enclave hostile et permet à la France de se concentrer sur ses provinces loyales.

Tahiti et les Territoires du Pacifique : Rupture avec les îles perdues

Les territoires d’outre-mer comme Tahiti, la Polynésie et Wallis-et-Futuna, bien qu’exotiques, n’ont jamais été un élément fondamental du rayonnement royal. Leur éloignement extrême, leur coût d’entretien et leur absence de lien profond avec la culture française en font des territoires secondaires.

Problèmes identifiés :
Éloignement excessif, rendant toute gouvernance complexe et coûteuse.
Coût économique disproportionné, avec des subventions massives sans retour stratégique clair.
Identité polynésienne dominante, qui ne s’intègre pas pleinement dans l’héritage monarchique français.

Solution stratégique :
Indépendance sous protection royale, garantissant un lien culturel sans en assumer les coûts.
Alliance avec des monarchies du Pacifique, permettant de préserver une influence sans gestion directe.
Redéploiement des ressources vers des territoires stratégiques, comme le Québec ou l’Est algérien.

Impact géopolitique :
Un désengagement intelligent qui recentre la France sur son hinterland européen et nord-américain, tout en conservant une influence douce sur le Pacifique.

Guyane : Abandon du bastion tropical

La Guyane, malgré sa richesse en biodiversité, est un gouffre budgétaire et un territoire peu intégré culturellement et historiquement à la France monarchique. Son maintien n’a plus de sens stratégique dans une vision de recentrage territorial.

Problèmes identifiés :
Coût d’entretien énorme, avec une dépendance excessive aux aides de la métropole.
Climat et géographie peu favorables à une intégration forte dans le royaume.
Identité locale différente, avec des influences sud-américaines et créoles.

Solution stratégique :
Transition vers un statut d’indépendance, sous supervision diplomatique française.
Création d’une confédération guyanaise, en lien avec le Brésil, pour assurer une stabilité régionale.
Investissement redirigé vers des projets plus stratégiques, notamment en France métropolitaine.

Impact géopolitique :
Une France allégée d’un territoire marginal, plus focalisée sur ses cœurs historiques et son expansion légitime.

Une France plus forte, plus cohérente, plus souveraine par la grâce de nôtre Seigneur Jésus-Christ

L’abandon stratégique de certains territoires permet à la France de retrouver son équilibre et son efficacité.

La Savoie retrouve sa place naturelle dans le monde italien, consolidant une alliance monarchique.
Le Languedoc-Roussillon cesse d’être un bastion hostile, renforçant la cohésion du Royaume.
Tahiti et le Pacifique s’émancipent sans devenir un fardeau budgétaire.
La Guyane quitte le giron français, évitant un gouffre économique inutile.

Avec ces choix, la France royale se recentre sur ses piliers fondamentaux : unité historique, stabilité spirituelle et puissance stratégique. Elle n’est plus un empire dispersé, mais un royaume soudé, puissant et prêt à rayonner dans le monde.

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