Le Clergé

Dans le cadre du Royaume restauré sous le règne d’Henry V de la Croix et du Croissant, le clergé catholique, désormais purifié et réordonné selon les principes traditionnels de la Monarchie française, incarne le centre spirituel et intellectuel d’un ordre véritablement synarchique, tel que défini par el philisophe René Guénon.

 

Cette Église royale n’est plus un simple organe moral, mais la médiation directe entre le Ciel et l’organisation temporelle du Royaume, transmettant la doctrine métaphysique universelle dans une forme adaptée à la Tradition occidentale. Son rôle est de guider les autres castes — La Noblesse, et les Producteurs de Biens  — selon les hiérarchies sacrées, rétablissant ainsi la prééminence du spirituel sur le politique et le temporel en général, de l’essence sur l’action et la nécessité.

 

Elle veille à la conservation des symboles, rites, et sciences traditionnelles, et supervise les applications temporelles de ces principes dans les domaines de la recherche, de la médecine, de la justice, de l’éducation.

Dans ce sens, le clergé constitue le pôle axial du royaume, unifiant le visible et l’invisible, refusant toute séparation moderne entre la foi et la raison, entre le sacré et le savoir, et restaurant l’ordre cyclique et organique que la modernité avait brisé.

Sous la bénédiction du Grand Pape, l’Église agit non comme un pouvoir séparé, mais comme l’âme même de la monarchie sacrée, assurant la légitimité métaphysique du règne d’Henry V et le rayonnement du Royaume à travers l’espace et le temps.